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Le Parc animalier Saint-Léger, un parc pour rugir de plaisir

Depuis huit ans, le Parc animalier Saint-Léger accueille le public dans un concept bâti autour des grands fauves et des arts du cirque. Sur le site situé à Saint-Léger en Bray, il est possible de pratiquer plusieurs activités de plein air mais aussi de se restaurer et, cette année, d’assister à un spectacle… de chats.

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Plus de 300 animaux, 150 espèces sauvages et domestiques… Le Parc animalier de Saint-Léger-en-Bray est une enclave exotique au cœur de l’Oise.

Plus qu’une histoire d’animaux, c’est une belle histoire de famille et de passion qui anime la création de ce parc.

Repris en 2013 par Kid Bauer, dresseur de fauves professionnel, le parc Saint-Léger a fait des grands félins sa marque de fabrique. Aujourd’hui dirigé par sa fille Namayaca Bauer, le Parc animalier propose un panel d’activités variées.

 

On peut facilement passer la journée en famille dans le parc, explique Namayaca. On peut visiter les animaux mais aussi assister à plusieurs spectacles par jour, faire un tour de pédalo ou en petit train, jouer au mini-golf et se restaurer sur place.

Pour la reprise, la Parc animalier mise sur deux nouveautés, un nouvel espace pour les fauves et une visite dans l’enclos des lémuriens. Cette année, en complément des deux spectacles quotidiens (fauves et animaux de la ferme), le Parc animalier accueille un artiste qui se produit avec des … chats. 

Pour faire tourner cette grande machine, la famille Bauer au complet « travaille matin et soir » pour donner les soins aux animaux. Si de nombreuses naissances ont lieu chaque année, « le parc est l’un de ceux qui assurent le plus de sauvetage », souligne Namayaca. « Ainsi, nous présentons cette année un couple de servals que nous avons récupérer à la demande de la gendarmerie dans un élevage clandestin. »

Dans leur enclos, après des années de captivité dans le noir, les deux petits félins retrouvent la lumière du soleil et le contact avec le monde extérieur. Tout en douceur.

Pour Namayaca, qui est née en même temps que l’une des lionnes du parc, pas question de parler de dressage. « Ici on utilise une technique de médical-training pour soigner les animaux et surtout, nous proposons des spectacles éducatifs. »

La jeune éducatrice, âgée d’une vingtaine d’année, ne compte en effet ni son temps, ni son énergie pour transmettre son amour des animaux au public qu’elle attend nombreux jusqu’à la fin de la saison en octobre.

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